Lors de ma dernière chronique, je vous parlais de la sauvegarde des documents dans une solution infonuagique. Mais, le cloud computing c'est beaucoup plus que la simple sauvegarde de document. C'est aussi les logiciels en tant que service, SaaS, les plateformes en tant que service, PaaS, les infrastructures en tant que service, IaaS et les données en tant que service, DaaS. Aujourd'hui, nous allons parler du service le plus utilisé, les logiciels en tant que service.
Mais, qu'est-ce qu’un logiciel en tant que service? Selon Wikipédia, c'est un modèle d'exploitation commerciale des logiciels dans lequel ceux-ci sont installés sur des serveurs distants plutôt que sur la machine de l'utilisateur.
Pour utiliser un SaaS, vous n’avez besoin que d’un ordinateur ou d’un appareil mobile, une connexion internet et un fureteur ou une application pour les appareils mobiles. Peu importe où vous êtes, vous avez toujours accès à vos applications et documents.
Donc, Hotmail, Gmail et même Facebook sont des logiciels en tant que services. Saviez-vous que Microsoft Office offre Word, Excel, PowerPoint et OneNote, en versions simplifiées, gratuitement, sur internet? La série «Online». Ils ne sont pas les seuls. Google offre le même service, Zoho aussi, ainsi que plusieurs autres. Avec Google documents, vous pouvez même utiliser la fonction reconnaissance vocale pour composer une lettre. Pourquoi payer une solution complète d’Office alors que les fonctionnalités des services « en ligne » conviennent très bien à la majorité des gens? Il y a aussi des versions payantes des logiciels en tant que service, mais ces versions, avec plus de fonctionnalités, sont plus pour les entreprises.
Pour une compagnie, il y a plusieurs avantages à utiliser des SaaS : prolonger la durée de vie des ordinateurs, des applications efficientes plus rapides et plus flexibles, des logiciels toujours à jour, environ 20% du prix d’achat du logiciel et des applications disponibles pour les appareils mobiles. Vous avez donc, votre bureau, partout. Pour les petites entreprises, ils offrent une meilleure protection contre les failles de sécurité et finalement, d’un point de vue fiscal, comme c’est un service, c’est considéré comme une dépense et non une acquisition avec amortissement.
Voilà ce qui fait, en gros, le tour du sujet de l’infonuagique.
À noter qu’une partie de cette chronique a été composée à partir de la reconnaissance vocale de Google Documents.
Source photo : Shutterstock
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