Deux équipes d’étudiants en Techniques de comptabilité et de gestion du Cégep de Sorel-Tracy ont pris part à la compétition Place à la relève en gestion qui s’est déroulée les 10 et 11 novembre dernier à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR).
L’une d’elles a remporté la 1ere place au volet entrepreneuriat parmi les 19 équipes collégiales inscrites à la 8e édition!
Il s’agit d’une deuxième participation pour Marc-Antoyne Dion et Pascale Rajotte, qui avaient tenté l’expérience l’an dernier et d’une première pour Nicolas Gagné. Dans les faits, l’équipe devait résoudre, en trois heures, un cas d’une problématique réelle d’entreprise et présenter des solutions devant le panel d’experts.
Concrètement, l’équipe a travaillé à mettre de l’avant une solution à moindre coût pour le Comité d’action communautaire de Hitachi capital Canada. La problématique présentée : augmenter les sources potentielles de financement externe et optimiser la visibilité. Il va sans dire que les solutions proposées ont décidément charmé les experts, puisque l’équipe s’est vu décerner le 1er prix volet entrepreneuriat et remettre une bourse gracieuseté de l’UQTR d’une valeur de 250 $ par étudiant.
« Cette réussite représente le travail acharné non seulement de trois étudiants, mais le bagage de conseils et d'avis donnés par nos professeurs. Lorsqu'on s'y met tous, on a le pouvoir d'accomplir de grandes choses », relatent fièrement les étudiants.
De plus, lors de l’événement, l’équipe s’est classée en 3e position parmi les 21 équipes participantes au Quiz académique relatif à l’actualité financière.
Enfin, le Collège tient à féliciter les gagnants et à souligner la participation de la deuxième équipe composée de Laura Pearson, Kimberley Rajotte et Olivier Martel, fiers représentants du Cégep de Sorel-Tracy.
le sorel-tracy & cie est rendu possible grâce à la contribution de l'équipe d'agence Caza!
Source photo: gracieuseté du Cégep de Sorel-Tracy
DONNEZ-NOUS VOS COMMENTAIRES
Sorel-Tracy & Cie accorde une importance majeure au contenu des textes publiés sur sa tribune mais n’est pas responsable des erreurs de français de leurs auteurs.
